Ainsi, pour aider les PME marocaines, il est nécessaire de leur faciliter l’accès à plus de crédits, mais il faut aussi s’assurer de la bonne fin de l’opération, car si le crédit accordé se transforme en une créance en souffrance, la situation des PME se dégradera encore plus. Quant à la banque, elle deviendra plus réticente à l’égard de cette catégorie d’entreprises.
(...) Mais sur le plan pratique, l’application par les banques du système de notation interne implique-t-elle une meilleure appréciation de la clientèle des PME ? Car seul un jugement approprié et objectif est de nature à sauvegarder les intérêts des différentes parties et atteindre le développement escompté.