Caroline

Théorie des parties prenantes

partie prenante

L’objectif de cet article est de présenter une mise en perspective critique du vaste corpus théorique regroupé sous l’étiquette de théorie des parties prenantes (stakeholder theory) qui s’est développé depuis l’ouvrage de Freeman (1984).

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L’apport de la théorie des parties prenantes au management stratégique

partie prenante

La théorie des parties prenantes fait en effet l’objet d’une attention croissante dans la littérature managériale et se trouve au cœur des débats qui traitent du rôle de l’entreprise dans nos sociétés. Elle recouvre un ensemble de propositions qui suggèrent que les dirigeants ont des obligations éthiques envers leurs parties prenantes. Ce terme de partie prenante est apparu dans les années soixante mais son origine remonte aux travaux de Dodd (1932) et Barnard (1938). 

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Internet, l’évasion fiscale à très haut débit

Les entreprises de l’Internet - construites dès le départ sur un modèle d’optimisation fiscale - représentent, aujourd’hui, des territoires sans État, rivalisant avec les États par des offres de services publics alternatifs. Face à cette érosion des capitaux et au recul de leur rôle, les gouvernements sont contraints d’adapter leur fiscalité aux activités numériques et d’organiser l’accès à un domaine public national numérique.

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C.V. Efficace

CV efficace

Lorsque j'étais moi-même employeur, je pouvais recevoir des "tartines" longues de plusieurs pages sur du papier quadrillé et écrit à la main. Je peux vous dire que ces "C.V" là allaient directement à la poubelle. Ce que je veux vous dire c'est qu'un patron, qui reçoit un C.V, va aller à l'essentiel : les compétences professionnelles et les formations scolaires. Un C.V court et bien structuré retiendra mieux l'intérêt d'un employeur. Moins il doit lire, plus il y sera attentif!

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Gouvernance familiale et politique de distribution aux actionnaires

L'objectif de cette étude est d'analyser la relation entre les politiques de distribution des entreprises familiales cotées et deux grands types de conflits d'agence dans les entreprises familiales, entre actionnaires et dirigeant (type I), et entre actionnaires majoritaires et minoritaires (type II). Les résultats sur les entreprises du SBF 250 montrent que les montants distribués sont liés à ces deux composantes du conflit d'agence, qui est globalement moins fort dans les entreprises familiales.

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