La gouvernance des institutions figure parmi les clés d’entrée incontournables en matière de développement économique. Plusieurs travaux d’analyse théorique et empirique ont clairement mis en relief que la qualité de la gouvernance institutionnelle figure au rang des leviers clés qui favorisent une croissance économique à la fois durable et inclusive. C’est ce que corroborent, d’ailleurs, quelques expériences internationales pertinentes en la matière.
La présente étude s’inscrit dans cette perspective. Elle s'appuie sur des modèles économétriques, intégrant un échantillon de 94 pays dont le Maroc, pour mettre en évidence la relation entre la qualité institutionnelle et la performance économique. Les pays de l'échantillon ont été regroupés en trois groupes, selon leur niveau de revenu (élevé, intermédiaire, faible) et ce, dans le but de déceler l'effet différencié de la gouvernance sur leurs performances économiques respectives, tout en repérant les mécanismes de transmission y afférents.
Les analyses élaborées dans le cadre de cette étude ont, ainsi, clairement montré que l’édification d’institutions fortes et l’ancrage aux principes de la bonne gouvernance constituent des paramètres clés pour impulser durablement le processus de développement économique d’un pays. Au-delà du gain économique net qui en résulte, le relèvement conséquent de la qualité de la gouvernance institutionnelle suscite des effets de second tour beaucoup plus importants et ce, en concourant au retissage du lien social et au renforcement de la confiance dans sa double dimension : interpersonnelle et institutionnelle. Ces deux facteurs constituent à juste titre des leviers essentiels pour conforter les bases d’un vivre ensemble harmonieux.
La présente étude s’inscrit dans cette perspective. Elle s'appuie sur des modèles économétriques, intégrant un échantillon de 94 pays dont le Maroc, pour mettre en évidence la relation entre la qualité institutionnelle et la performance économique. Les pays de l'échantillon ont été regroupés en trois groupes, selon leur niveau de revenu (élevé, intermédiaire, faible) et ce, dans le but de déceler l'effet différencié de la gouvernance sur leurs performances économiques respectives, tout en repérant les mécanismes de transmission y afférents.
Les analyses élaborées dans le cadre de cette étude ont, ainsi, clairement montré que l’édification d’institutions fortes et l’ancrage aux principes de la bonne gouvernance constituent des paramètres clés pour impulser durablement le processus de développement économique d’un pays. Au-delà du gain économique net qui en résulte, le relèvement conséquent de la qualité de la gouvernance institutionnelle suscite des effets de second tour beaucoup plus importants et ce, en concourant au retissage du lien social et au renforcement de la confiance dans sa double dimension : interpersonnelle et institutionnelle. Ces deux facteurs constituent à juste titre des leviers essentiels pour conforter les bases d’un vivre ensemble harmonieux.