Gouvernance

Théorie des parties prenantes

partie prenante

L’objectif de cet article est de présenter une mise en perspective critique du vaste corpus théorique regroupé sous l’étiquette de théorie des parties prenantes (stakeholder theory) qui s’est développé depuis l’ouvrage de Freeman (1984).

Lire la suite »

La théorie des jeux

La théorie des jeux permet de décrire et d'analyser de nombreuses relations économiques et sociales sous la forme de jeux stratégiques. Ses domaines d'application sont multiples. Si les économistes ont été les premiers à s'approprier cet outil, ils ont été depuis rejoint par les sociologues et les chercheurs en sciences politiques.

Lire la suite »

L’apport de la théorie des parties prenantes au management stratégique

partie prenante

La théorie des parties prenantes fait en effet l’objet d’une attention croissante dans la littérature managériale et se trouve au cœur des débats qui traitent du rôle de l’entreprise dans nos sociétés. Elle recouvre un ensemble de propositions qui suggèrent que les dirigeants ont des obligations éthiques envers leurs parties prenantes. Ce terme de partie prenante est apparu dans les années soixante mais son origine remonte aux travaux de Dodd (1932) et Barnard (1938). 

Lire la suite »

Pratiques RSE des PME au Maroc

Pratiques RSE des PME au Maroc : une analyse perceptuelle auprès des dirigeants casablancais

Le présent article traite du concept de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) au contexte marocain. En effet et à l’ère de la COP 22, les entreprises marocaines sont de plus en plus sollicitées pour intégrer des préoccupations à la fois économique, sociale et environnementale dans leurs pratiques managériales.

Lire la suite »

Gouvernance familiale et politique de distribution aux actionnaires

L'objectif de cette étude est d'analyser la relation entre les politiques de distribution des entreprises familiales cotées et deux grands types de conflits d'agence dans les entreprises familiales, entre actionnaires et dirigeant (type I), et entre actionnaires majoritaires et minoritaires (type II). Les résultats sur les entreprises du SBF 250 montrent que les montants distribués sont liés à ces deux composantes du conflit d'agence, qui est globalement moins fort dans les entreprises familiales.

Lire la suite »
s2Member®