Avant le passage du droit de la faillite au droit des entreprises en difficultés, l’idée de prévention ne faisait pas partie des objectifs dévolus au droit marocain. Ce dernier était dominé par deux traits principaux : d’un côté, son caractère répressif et de l’autre, l’intérêt porté sur le créancier victime de la défaillance du débiteur. Une évolution remarquable s’était, toutefois, opérée pour limiter ce caractère coercitif.
Lire la suite »